Roxana et son SUGG

Comment c’était quand tu as roulé pour la première fois sur un vélo toute seule sans aucune aide ?

Oh c'était il y a longtemps ! J'avais 6 ans. Je crois me souvenir que c'était un sentiment de fierté, surtout de rendre fier mon père. Fierté aussi d'avoir franchi ce que je considérais déjà comme une des étapes clés de l'enfance, le pas vers une plus grande indépendance et autonomie.

Quel est ton meilleur souvenir en rapport avec la bicyclette ?

Je ne peux m'empêcher de le faire chaque fois que je sors en vélo, notamment dans les descentes. C'est incroyablement grisant.

Que fait l’organisation dans laquelle tu travailles ?

Nous sommes un cercle de réflexion (et d'action !) sur les politiques climatiques. On fait de la recherche et du plaidoyer pour s'assurer d'atteindre la neutralité carbone d'ici 2050.

Et en quoi consiste ton job ?

Je travaille sur la décarbonation d'un des secteurs les plus émetteurs de gaz à effet de serre : le bâtiment. Et plus largement je me penche aussi sur les conditions nécessaires pour assurer la transition durable des villes et comment financer tout ça. Mon travail consiste en partie à rencontrer des acteurs clés, comprendre les défis auxquels ils font face et apprendre des initiatives novatrices qu'ils mènent sur le terrain pour ensuite en tirer des apprentissages et les proposer aux décideurs européens pour façonner les politiques sur le sujet.

Qu’est ce que ça fait de rouler sur ton Mini SUGG électrique dans les montées à plus de 20km/h ?

C'est cool ! C'est ce que tout le monde dit en voyant le vélo ! C'est super pratique car il se faufile partout, c'est ultra léger, avec beaucoup de « répondant » qui fait qu'on se sent en sécurité.