Geoffrey et son SUGG
Comment c’était quand tu as roulé pour la première fois sur un vélo toute seule sans aucune aide ?
J'ai appris assez tard à rouler seul. J'ai longtemps garder les petites roues. Un jour mon père a décidé que j'étais trop grand, il a enlevé les petites roues et il a scotché un manche à balai à l'arrière de mon vélo pour me tenir en roulant. Du coup, j'avais toujours ce lien pour me rassurer.
Un jour où je roulais, il a lâché le manche sans me le dire et j'étais tellement persuadé qu'il était derrière moi que j'ai continué à rouler sans me rendre compte que je roulais seul. Quand je me suis retourné, il était 200m derrière moi. Du coup j'ai perdu l'équilibre. Mais directement après, je me suis relancé et depuis je n'ai plus arrêté.
Quel est ton meilleur souvenir en rapport avec la bicyclette ?
Probablement les voyages à vélos avec mes enfants. C'est l'aventure et la liberté. C'est aussi synonyme de camping, de nuits sous la tente et de perte de notion du temps.
Que fait l’organisation dans laquelle tu travailles ?
Je travaille pour GoodPlanet; une ONG qui éduque et sensibilise au développement durable et à l'écologie partout en Belgique. Nous travaillons avec les écoles, les entreprises et le grand public. Nous travaillons sur 7 axes: nature/biodiversité, climat, énergie, eau, économie circulaire, mobilité et alimentation.
Et en quoi consiste ton job ?
Au sein de GoodPlanet, je suis coordinateur du programme mobilité. Je m'occupe donc de gérer une équipe de coaches et de project manager qui organisent et animent des ateliers dans les écoles sur les thématiques liées à la mobilité durable et à la sécurité routière. Je m'occupe également de la recherche de nouveaux partenariats, des contacts avec les partenaires et de la gestion budgétaire du programme mobilité.
Qu’est ce que ça fait de rouler sur ton Mini SUGG électrique dans les montées à plus de 20km/h ?
Quand j'ai testé le Sugg pour la première fois, j'étais sceptique sur son efficacité. Et pourtant, une fois dessus, j'ai été bluffé par son agilité et son aisance dans les côtes. Je ne roule pas en vélo électrique habituellement mais là ce qui me plait c'est de pouvoir faire appel à l'assistance uniquement quand j'en ressens le besoin.
Mais c'est sur que quand je suis pressé, pourvoir grimper le Mont des Arts à 20km/h, c'est vachement chouette!